ASSIETTE DE FOIE GRAS
PARMENTIER DE CIVET DE CERF
GATEAU CHOCOLAT-BANANE
Pour la sortie de mes deux nouveaux livres et leur présentation à la presse ce lundi 17 novembre Paul Bedel et moi-même avions été invités par le Commandant Devailly à sa table, au carré des officiers. Cette journée initiée par Hervé Constantin responsable du patrimoine et Monsieur de France responsable du foyer s’est prolongée par une visite à pied, et sous la pluie fine du Cotentin du fort de Querqueville, visite très instructive et passionnante. Grands absents de la journée évidemment Arsène Georges Lepoittevin, héros du livre Un péquenot normand chez la Reine, resté bien au chaud à Londres et Pascal Bresson en déplacement en Suisse, l’illustrateur du tracteur de Paul. Mais par la pensée ils nous ont accompagnés. Nous avons passé une journée très amusante à plus d’un titre, assistant au cérémonial d’avant le repas des marins. Là évidemment je ne peux pas vous raconter …. C’est « très marin » !
Paul on peut le dire était comme un poisson dans l’eau, et moi aussi. Nous avons beaucoup ri et j’ai trouvé personnellement que cette école, qui possède de très beaux locaux, devait être une bonne affectation, l’ambiance y est décontractée et sympathique, détendue et amicale. Monsieur de France nous a offert à Paul et à moi la tape de bouche de l’école ! Et il a bien fallu repartir … Paul et moi remercions le Commandant Devailly et tous les organisateurs de cette journée et toutes les personnes sympathiques rencontrées lors de cette journée, à table comme à l’extérieur, élèves et journalistes. Sans oublier le cuisinier et ses élèves qui nous avaient confectionné un Gâteau livre, je vous mets l'eau à la bouche je sais, un gâteau somptueux, aéré comme un poème, léger comme de jolis mots, enfin vous comprenez le genre de livre qui se dévore ... mais sans lourdeurs.
d'ailleurs Paul m'a confié une certaine vérité :
- j'ai bien l'impression qu'on a mieux mangé qu'au restaurant ! La dernière fois que j'ai mangé du cerf, et c'était dans un restaurant, j'avais l'impression que l'on nous avait servi les bois, tellement la viande était dure ! J'espère qu'on reviendra mais en tous cas on a bien fait de venir !
Paul et moi et le Commandant Devailly, écrivain lui aussi ! Nous posons devant le magasin du foyer.
Paul et monsieur de France et Hervé Constantin