Catherine Ecole Boivin

PAUL BEDEL A CHATILLON EN VENDELAIS

Notre aventure n'aurait pas pu voir le jour, sans Bernard Clermont (radio ALpha) Paul et Claude et Maria Bougeot nos hôtes tellement gentils. Qu'ils soient remerciés.

   Ce jeune garçon nous lit une belle histoire de Paul (en arrière plan le tracteur de Paul !) c'est pour moi en fait ce joli texte et il me l'offre ensuite.
Paul et moi avons été invités à Châtillon en vendelais, quel bel accueil chez les bretons,visite d'école, conférence, bibliothèque mais aussi un petit tour sur France Bleu Armorique avec Alain Grégoire et au forum de Rennes.

 

Celui ci aime la terre, il aimerait comme Paul un jour rester à la terre.

 Paul fait rire toute la classe

! France Bleue Armorique 

 

 

Quand Ouest France rencontre Ouest France

 
Paul et les Jumeaux Gicquel auteurs chez Ouest France d'un livre frais et drôle "Rougir d'être paysan". Il sont venus de Bretagne pour le salon du livre de Beaumont-Hague et je les ai emmenés voir Paul ce dimanche 20 septembre 2009. Tour de la Hague sous un fin de soleil magnifique.

Nous nous sommes rencontrés tous les 3 au salon du livre de Loudéac l'an passé et nous avons lié amitié. Ils sont parfaitement adorables mais aussi extrêmement humains. La lecture de leur livre est une rencontre, ils sont comme ils écrivent, ils croient vraiment. Un épisode magnifique lors d'une de leur prestation dans une maison de retraite, une vieille femme aveugle s'est mise debout et devant l'évocation de souvenirs communs criait avec joie, un : oui oui ça je vois !

Merci à vous les jumeaux de la part de Paul, belle rencontre d'amoureux de la terre et de l'amitié. 

COLS BLEUS

Voici un très bel article que nous offre l'hebdomadaire COLS BLEUS au sujet du beau livre "Un péquenot Normand chez la Reine" les mémoires d'Arsène Georges Lepoittevin, valognais et maintenant Membre de l'Empire Britannique. Article qui m'a été envoyé par mon ami Guy Donnet Président de la Fammac Lorraine.

SAINTE MERE EGLISE

En raison des festivités des 65 ans du débarquement, la mairie de Sainte Mère Eglise ainsi qu'une équipe de bénévoles très efficaces et accueillants avaient organisé le premier salon du livre.

Un grand merci à tous, vraiment, pas une fausse note !

60 auteurs, et l'ambiance était vraiment sympathique.

Mon dernier livre préfacé par Jacques Launay Major général de la marine y trouvait toute sa place. Les mémoires d'Arsène Lepoittevin, un péquenot normand chez la Reine, dernier survivant des prisons vichystes de Kénitra. Sur la photographie on observe les plus gros acheteurs du salon, le boulanger, pâtissier de Sainte mère église et son épouse, ils ont acheté mon livre. On se demande si avec tant de lecture ils arriveront encore à préparer pour le débarquement des touristes la semaine prochaine (5 et 6 juin) de bons gâteaux !

Photo de Josette Bigot, de la Presse de la Manche.

articles

Voici les articles sur mon nouveau livre "Un pequenot Normand chez la Reine"

OUEST FRANCE

Français libre, décoré par la Reine - Côtes-d'Armor

samedi 17 janvier 2009

---

Biographie

Arsène Georges Lepoittevin prévient lui-même: il n'était « ni un héros, ni un officier supérieur, encore moins un homme d'Etat. Plutôt un sans grade ». Respectons sa modestie, mais pour souligner qu'il fut l'un de ces combattants qui pendant la Seconde guerre mondiale exposèrent leur vie au service d'une certaine idée de la France. Catherine Ecole-Boivin retrace le parcours de cet homme d'honneur et de courage, né à Valognes et qui depuis la guerre réside en Grande-Bretagne où il s'est marié. Et d'où il ne cesse d'entretenir la flamme du souvenir, jetant un pont sur les deux rives du Channel.

Orphelin, endurci par une jeunesse de travail à la ferme, la rudesse et parfois la cruauté du monde rural, le Normand engagé dans la Marine nationale en 1939 avait pris le parti de la France Libre qu'il tenta de rejoindre en 1941. Dégradé, condamné au nom de l'Etat français de Pétain, il fut incarcéré au Maroc dans la sinistre prison de Kenitra. Il y vécut 18 très longs mois avant de pouvoir rejoindre les Forces navales françaises libres. Le lecteur découvrira au fil du récit de Catherine Ecole-Boivin les épreuves et les faits d'armes qui furent le quotidien de ce combattant, jusqu'au débarquement du 6 juin 1944. Officier de la Légion d'Honneur, Arsène Georges Lepoittevin a été aussi décoré par la Reine d'Angleterre dans l'Ordre de l'Empire britannique.

Un péquenot normand chez la Reine, par Catherine Ecole-Boivin. Editions Ouest-France. 16 €.

ICI LONDRES

Livre + photo couverture

Publication du livre «Arsène Lepoittevin, un Péquenot normand chez la Reine» de Catherine Ecole-Boivin. Ce livre raconte la vie hors norme de Arsène George Lepoittevin, aujourd’hui président de l’association des combattants volontaires. Né en 1922 dans la Manche, garçon de ferme dès 14 ans après l'orphelinat, puis mousse à 17 ans dans la Marine nationale, Arsène George Lepoittevin est devenu radiotélégraphiste pendant la seconde guerre mondiale, et a rejoint Londres et participé au Débarquement.

« Debout. Un enfant debout dans le tangage d’une vie d’épreuves. Un adolescent debout dans la rudesse des travaux de la ferme. Une jeunesse debout dans les maléfices des emprisonnements arbitraires. Un marin debout dans la quête de la liberté… Toute une vie debout malgré les peines et les obstacles !

Vous allez découvrir grâce à la plume attentive et affectueuse de Catherine Ecole-Boivin, ce qu’est le tangage d’une vie avec le « pain tournant », les raclées, l’hospice, la vie de vacher, l’engagement, la Marine, les prisons, les trahisons, l’évasion, les convois, les escortes               du Jour « J » et de juin 44, la tuberculose…

Et dans cette vie parfois tragique, le bonheur malgré tout, les bonheurs furtifs, la force des promesses, l’idéal ancré comme un fil permanent, l’amour de Marjorie, les liens des deux côtés de la Manche.

(…) Arsène George Lepoittevin s’est engagé pour son pays, pour sa famille, pour les autres, pour une certaine idée des rapports entre les hommes : Catherine Ecole-Boivin vous le conte avec élégance, délicatesse et affection. » préface le vice-amiral d’escadre Jacques Launay, Major général de la marine.

Pour en savoir plus sur cet ouvrage publié aux éditions Ouest-France au prix de 16 euros, contacter l’association des Anciens combattants : [email protected]

Rire pendant la crise

Je ne résiste pas de vous faire partager cette déêche de l'AFP de ce matin

Donner un nom aux vaches augmente leur production de lait

Mercredi 28 janvier, 12h14

• Imprimer

Traiter les vaches avec attention, et en particulier leur donner un nom, augmente leur production de lait, révèle une étude britannique publiée mercredi. Lire la suite l'article

Photos/Vidéos liées

Un fermier nourrit un veau dans une ferme Agrandir la photo

Les vaches laitières qui bénéficient d'un "traitement personnalisé" ont un rendement supérieur (jusqu'à 250 litres de plus par an), indiquent des chercheurs de l'Université de Newcastle, dans le nord-est de l'Angleterre.

"Tout comme les gens réagissent mieux à un traitement individualisé, les vaches elles aussi sont plus heureuses et plus détendues si on leur prête plus d'attention", a expliqué Catherine Douglas, qui a mené l'étude publiée dans le journal en ligne Anthrozoos.

"En accordant plus d'importance à l'individu (par rapport au groupe), comme appeler une vache par son nom ou avoir de plus en plus de rapports avec l'animal à mesure qu'il grandit, on améliore non seulement le bien-être de l'animal et sa perception de l'humain, mais on accroît également sa production de lait", a-t-elle ajouté.

L'étude a permis d'interroger 516 éleveurs du Royaume-Uni.

L'ECOLE PRIMAIRE DE CHEUX

Hier au salon de Cheux (23/11/08) une drôle de surprise m'attendait ! Les élèves de la classe de CE1-CE2 me faisaient une terrible concurrence : effectivement ils ont écrit et publié en même temps que moi "les aventures de Paul et son tracteur !"

Génial et attendrissant !

En voici un extrait, Paul va recevoir ce livre très prochainement avec une jolie lettre et j'ai promis aux enfants de venir les voir très prochainement avec Paul, mais chut c'est une surprise pour Noël.

 

 

Chaque enfant dédicacait son livre, le mien c'est Alison une blondinette qui me l'a vendu. 

Merci les enfants.

Quel beau salon ! Merci yves Jacob son président et les organisateurs, ainsi que la librairie Guillaume qui ont des vendeurs tellement sympathiques et aimables.

DEDICACES FIN 2008

 

 

 

"Les mains d'un paysan passent leur temps à se salir"

Paul à l'école des Fourriers ce Lundi 17 novembre.

Photo Fabrice Cuidet

UN PEQUENOT NORMAND CHEZ LA REINE présentation

PREFACE DU VICE AMIRAL D'ESCADRE JACQUES LAUNAY, MAJOR GENERAL DE LA MARINE, .

« Courage partout, il faut vivre encore Sous un ciel qui n’a plus mémoire de l’aurore » Jules Supervielle

Debout. Un enfant debout dans le tangage d’une vie d’épreuves. Un adolescent debout dans la rudesse des travaux de la ferme. Une jeunesse debout dans les maléfices des emprisonnements arbitraires. Un marin debout dans la quête de la liberté…

Toute une vie debout malgré les peines et les obstacles ! Vous allez découvrir grâce à la plume attentive et affectueuse de Catherine Ecole-Boivin, ce qu’est le tangage d’une vie avec le « pain tournant », les raclées, l’hospice, la vie de vacher, l’engagement, la Marine, les prisons, les trahisons, l’évasion, les convois, les escortes du Jour « J » et de juin 44, la tuberculose… Et dans cette vie parfois tragique, le bonheur malgré tout, les bonheurs furtifs, la force des promesses, l’idéal ancré comme un fil permanent, l’amour de Marjorie, les liens des deux côtés de la Manche. J’ai épinglé le 04 mai 2006 sur la poitrine de Georges Lepoittevin la croix d’officier de la Légion d’Honneur à la Résidence de France, à Londres. Il m’a dit sa fierté. Je lui ai dit la mienne et mon « admiration vis-à-vis de ceux qui ont su dans une époque difficile de notre histoire rester fidèle à l’esprit de liberté ». Ce même jour du 04 mai 2006, l’Air Marshall David Pocok du Ministère britannique de la Défense (le MOD) le faisait « Member of british Empire » (MBE). Double reconnaissance pour une vie agitée comme la Mer sait l’être dans ses tumultes imprévisibles. Lorsque j’ai servi à Londres en tant qu’attaché de Défense, Georges ou plutôt Arsène Georges Lepoittevin était une figure : nous le rencontrions souvent à l’Ambassade où il avait plaisir à venir au sein de la Mission Militaire partager quelques moments de convivialité en plaidant pour les dossiers des autres : « Altruiste, persévérant, attachant » voilà les termes employés pour le décrire que j’ai entendu prononcer par mon personnel. Il se faisait un devoir de participer aux cérémonies militaires, notamment le 18 juin, pour honorer ses frères d’armes : le souvenir et le devoir.

La Terre l’avait endurci dans sa jeunesse et préparé aux épreuves. La Mer l’a relevé. Elle l’a aussi révélé à lui-même et aux autres. Les marins et la Marine ont été une de ses familles d’accueil, de celles qui donnent des références pour vivre une vie d’homme loyal, droit, respectable. Pendant la guerre, son parcours tourmenté vers les FNFL culmine avec les convois et les escortes en Juin 1944 et les dangers des mines. Il était là le Jour J, humble artisan de la liberté au milieu des autres anonymes mais grands. C’est la force de la mémoire, la mémoire de repères fussent-ils fugitifs pourvu qu’ils soient beaux, qui permet de surmonter les épreuves, c’est le respect d’une promesse d’engagement qui honore l’homme. Sinon pour qui ou pourquoi survit-on en régime cellulaire ? « French Georges » a aussi appris l’Anglais à l’école de la vie : s’ouvrir à une langue étrangère c’est aussi s’ouvrir aux autres. C’est dans la nature des choses. C’est dans sa nature. Arsène Georges Lepoittevin s’est engagé pour son pays, pour sa famille, pour les autres, pour une certaine idée des rapports entre les hommes : Catherine Ecole-Boivin vous le conte avec élégance, délicatesse et affection. Georges était radio dans la Marine : Pour être un bon radio, il faut écouter, patiemment écouter, enregistrer, prendre les sons et discerner le message… discerner ! Voilà un grand mot.

Arsène le radio trouve le sens des mots dans le bruit des ondes. Arsène le marin a aussi trouvé le sens de la vie dans le bruit du monde. Et finalement, Arsène Georges Lepoittevin a discerné le bon grain de l’ivraie dans la vie de tous les jours, dans la survie d’une prison comme dans le combat pour la liberté.

 

UN PEQUENOT NORMAND CHEZ LA REINE

ASSIETTE DE FOIE GRAS

PARMENTIER DE CIVET DE CERF

GATEAU CHOCOLAT-BANANE

Pour la sortie de mes deux nouveaux livres et leur présentation à la presse ce lundi 17 novembre Paul Bedel et moi-même avions été invités par le Commandant Devailly à sa table, au carré des officiers. Cette journée initiée par Hervé Constantin responsable du patrimoine et Monsieur de France responsable du foyer s’est prolongée par une visite à pied, et sous la pluie fine du Cotentin du fort de Querqueville, visite très instructive et passionnante. Grands absents de la journée évidemment Arsène Georges Lepoittevin, héros du livre Un péquenot normand chez la Reine, resté bien au chaud à Londres et Pascal Bresson en déplacement en Suisse, l’illustrateur du tracteur de Paul. Mais par la pensée ils nous ont accompagnés. Nous avons passé une journée très amusante à plus d’un titre, assistant au cérémonial d’avant le repas des marins. Là évidemment je ne peux pas vous raconter …. C’est « très marin » !

Paul on peut le dire était comme un poisson dans l’eau, et moi aussi. Nous avons beaucoup ri et j’ai trouvé personnellement que cette école, qui possède de très beaux locaux, devait être une bonne affectation, l’ambiance y est décontractée et sympathique, détendue et amicale. Monsieur de France nous a offert à Paul et à moi la tape de bouche de l’école ! Et il a bien fallu repartir … Paul et moi remercions le Commandant Devailly et tous les organisateurs de cette journée et toutes les personnes sympathiques rencontrées lors de cette journée, à table comme à l’extérieur, élèves et journalistes. Sans oublier le cuisinier et ses élèves qui nous avaient confectionné un Gâteau livre, je vous mets l'eau à la bouche je sais, un gâteau somptueux, aéré comme un poème, léger comme de jolis mots, enfin vous comprenez le genre de livre qui se dévore ... mais sans lourdeurs.

d'ailleurs Paul m'a confié une certaine vérité :

- j'ai bien l'impression qu'on a mieux mangé qu'au restaurant ! La dernière fois que j'ai mangé du cerf, et c'était dans un restaurant, j'avais l'impression que l'on nous avait servi les bois, tellement la viande était dure ! J'espère qu'on reviendra mais en tous cas on a bien fait de venir !

Paul et moi et le Commandant Devailly, écrivain lui aussi ! Nous posons devant le magasin du foyer.

Paul et monsieur de France et Hervé Constantin