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02 janvier 2008

Commentaires

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Dominique

Tout comme Armel, j’avoue être particulièrement triste de constater autant de méchanceté envers Catherine Ecole Boivin.
Il est ordinaire que l’on puisse percevoir différemment son ouvrage mais on ne peut critiquer son investissement auprès de Paul.
En général, il faut se redresser pour être grand: Paul n'a qu'à rester comme il est pour être petit. La grandeur de Paul est dans sa décision d'être plus fort que sa condition et en cela j'aime les paysans, ils ne sont pas assez savants pour raisonner de travers.
Il est de ces hommes de progrès qui ont pour point de départ un respect profond du passé.
Paul ne cherche pas à comprendre pourquoi il croit, il croit pour comprendre.
Catherine Ecole Boivin a bien saisi sa vie, elle l’a l’habillée de jolis mots que Paul a du apprécier et qu’il aurait voulu choisir lui-même, j’en suis persuadé.
D’ailleurs c’est à elle seule, qu’il s’est adressé pour écrire ses mémoires.
Merci à tous les deux.

Catherine Ecole-Boivin

Merci Dominique, vraiment c'est gentil.

On ne peut pas plaire à tout le monde d'autant que sur le blog dont fait référence Dominique les gens peuvent écrire d'une façon anonyme. Je reçois tellement de mails sympathiques qu'un ou deux très méchants (de personnes frustrées et jalouses)ne peuvent me destabiliser. Pour les dédicaces Paul est invité (et pas toujours !) s'il le souhaite à partager avec moi des rencontres humaines, ce n'est en aucun cas lui qui peut marquer une dédicace. Il signe simplement, il est là pour le plaisir de partager des moments d'amitié, et il est bon de ne pas l'oublier qu'il a bientôt 78 ans. Les oreilles et les yeux ne sont plus ceux de vingt ans. L'exigence des lecteurs parfois est grande ... et déconcertante.

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