D'ici neuf jours, l'Europe votera. C'est peut-être l'occasion de faire état du lobbying électoral mené par mon père. Je ne crois pas qu'il soit parvenu à obtenir une quelconque avancée sur les points qui le préoccupaient (sa retraite jusqu'en 1979 puis sa rente viagère jusqu'à son dernier souffle). Ce qui est certain, c'est qu'il a enrichi sa collection d'autographes.
Fort préoccupé par son futur départ en retraite, ils s'est très tôt inquiété du statut des pasteurs employés de l'Etat en Alsace-Lorraine et il ne pouvait laisser passer les élections présidentielles de 1974 sans s'adresser aux principaux candidats. Chacun mesurera les efforts consentis par François Mitterrand, Valéry Giscard d'Estaing et Georges Marchais pour répondre à leur prolixe correspondant (on notera que Georges Marchais évoque un précédent échange) et, un fois élus, cette année là ou en 1981, comment les deux premiers ont eu à coeur de résoudre le problème.
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