« Dans mon anticipation de la mort, (…) il y a souterrainement le désir testamentaire, c'est-à-dire le désir que quelque chose survive, soit laissé, soit transmis – un héritage ou quelque chose à quoi je n’aspire pas, mais qui ne me reviendra pas, mais qui, peut-être, restera… Et ça, c’est un sentiment qui ne me hante pas seulement pour ce qu’on appelle les œuvres ou les livres, mais pour n’importe quel geste quotidien ou banal qui aura été le témoin de ça et qui gardera la mémoire de ça quand je ne serai plus là. » Jacques Derrida
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